L’Olympique Lyonnais : D’un géant redouté à la menace de la relégation en Ligue 2 

L’Olympique Lyonnais, l’un des clubs les plus emblématiques du football français, a traversé des périodes de succès et de turbulences au cours des dernières années. Après des saisons de transitions difficiles, le club a connu un changement de cap majeur avec le rachat par l’homme d’affaires américain John Textor et l’arrivée de nouveaux joueurs emblématiques comme Alexandre Lacazette et Corentin Tolisso. 

Le Lyon Olympique, fondé en 1896 après la fusion du Racing Club de Vaise et du Rugby Club de Lyon, intègre une section football en 1899. En 1906, il devient le premier club lyonnais à atteindre les phases finales du championnat de France USFSA, mais se retire après un match nul contre l’Olympique de Marseille. 

Après une période de domination du FC Lyon, le club, renommé Lyon Olympique Universitaire (LOU) en 1910, revient sur le devant de la scène. Il atteint les quarts de finale du championnat de France cette même année, mais subit une lourde défaite face au Stade Helvétique de Marseille. Le LOU participe encore aux compétitions nationales jusqu’en 1913, tout en jouant au stade des Iris en attendant l’ouverture du stade de Gerland en 1926. 

Sommaire

L’Ère professionnelle et la Division 1 

Sous la direction de Félix Louot, le LOU devient professionnel en 1942. En 1945, il remporte la poule sud du dernier championnat de guerre, mais perd la finale nationale face à Rouen. Ces performances lui permettent d’intégrer la Division 1 pour la saison 1945-1946, bien qu’il soit relégué après une seule saison. 

La séparation de 1950 

En 1950, des tensions internes entraînent une séparation entre les sections football et rugby du LOU. La section football devient l’Olympique de Lyon et du Rhône, officialisant sa création lors d’une réunion à la Brasserie de la République. Cette nouvelle entité est formée sous l’impulsion de plusieurs dirigeants, dont le Docteur Trillat. 

Malgré une interdiction temporaire de la Ligue du Lyonnais, le LOU réintroduit une section football deux ans plus tard, fondant un nouveau club qui perdure encore aujourd’hui. Cette scission marque un tournant dans l’histoire sportive de Lyon, donnant naissance à l’Olympique Lyonnais actuel.

Les débuts de l’Olympique Lyonnais et ses premiers succès 

Oscar Heisserer devient le premier entraîneur de la nouvelle structure de l’Olympique Lyonnais, conservant son poste de l’ancienne section football du LOU. Sur le plan financier, le club lance un emprunt public pour réunir les 15 millions de francs exigés par la Fédération française de football. Une décision prise lors d’une réunion le 6 juin 1950 stipule que chaque prêt de 25 000 francs accorde une voix au donateur. En une semaine, onze promesses de dons sont enregistrées, dont un million de francs de Félix Louot et de la paire Forest-Rochet, tandis que Marceau, futur directeur sportif, investit 1,6 million de francs, pour un total de 6,9 millions de francs collectés. 

Le 27 août 1950, l’Olympique Lyonnais dispute son premier match officiel en deuxième division, remportant une victoire 3-0 contre le Cercle Athlétique de Paris. L’équipe réalise un excellent début de saison avec neuf victoires et un match nul lors des dix premières journées. Le titre de champion de France est obtenu après une victoire 3-0 contre l’AS Monaco, devant 5 000 spectateurs au stade de Gerland. Cette réussite permet au club de recevoir des subventions municipales, notamment 100 000 francs offerts par le maire Édouard Herriot en 1954. 

L’association Olympique Lyonnais est officiellement créée le 23 novembre 1950, visant à promouvoir le football et à renforcer les liens de solidarité entre ses membres. Affiliée à la Fédération française de football, elle favorise le développement des jeunes et la publication de bulletins d’information. 

Ascension et premiers trophées 

Après une première montée en première division en 1951, suivie d’une relégation immédiate, l’Olympique Lyonnais retrouve l’élite en 1954. Le club connaît une période faste au milieu des années 1960, avec Fleury Di Nallo en vedette. En 1963, les Lyonnais terminent cinquièmes, puis quatrièmes en 1964. Cette année-là, ils remportent leur premier trophée en battant les Girondins de Bordeaux 2-0 en finale de la Coupe de France. 

Premières expériences européennes 

L’Olympique Lyonnais découvre les compétitions européennes en 1958 avec la Coupe des villes de foire, mais subit des éliminations précoces face à l’Inter de Milan, Cologne XI et Sheffield Wednesday. En 1963, l’équipe réalise un parcours remarquable en Coupe des coupes, atteignant les demi-finales après avoir éliminé des clubs comme Boldklubben 1913, l’Olympiakos, et Hambourg. L’aventure s’achève contre le Sporting Club du Portugal après un match d’appui à Madrid. 

Cette première épopée européenne marque un jalon important dans l’histoire du club, bien que l’édition suivante soit moins glorieuse, avec une élimination dès le premier tour par le FC Porto.

De nouveaux succès et défis pour l’Olympique Lyonnais 

Après une sixième place en 1965, l’Olympique Lyonnais retombe dans le milieu de classement. En 1967, ils remportent leur deuxième Coupe de France en battant Sochaux 3-1 en finale. Cette victoire leur ouvre les portes de la Coupe des coupes, où ils éliminent Aris Bonnevoie et Tottenham, avant d’être battus en quarts de finale par Hambourg après un match d’appui perdu 2-0. 

La saison suivante, en Coupe des villes de foire, ils passent le premier tour contre Coimbra grâce à un tirage au sort, mais sont éliminés par le Vitória Setúbal. Les trois dernières saisons des années 1960 voient l’OL stagner en milieu de tableau et échouer régulièrement en huitièmes de finale de la Coupe de France.

Le début des années 1970 et une nouvelle génération 

Les années 1970 marquent un nouveau cycle avec Aimé Mignot à la tête de l’équipe, renforcée par des joueurs comme Bernard Lacombe, Serge Chiesa, et Raymond Domenech. L’OL atteint la cinquième place en 1972 et monte sur le podium en 1974 et 1975, derrière l’ASSE, alors dominateur. En 1973, Lyon remporte sa troisième Coupe de France en battant Nantes 2-1, mais échoue à réaliser le doublé Coupe-Championnat. Le club devient un habitué de la Coupe des coupes, atteignant les huitièmes de finale en 1974, mais reste éloigné de la lutte pour le titre. 

Les problèmes financiers de la fin des années 1970 

En 1977, l’OL est confronté à de graves problèmes financiers, aggravés par l’instauration des contrats « à temps », qui obligent les clubs à salarier leurs joueurs. Avec une masse salariale de 4,9 millions de francs et un passif de cinq millions, le club est contraint de vendre des joueurs, à commencer par Raymond Domenech, vendu à Strasbourg pour 600 000 francs, puis Bernard Lacombe pour 1,6 million.

Déclin et relégation 

La fin des années 1970 est difficile pour l’OL, qui frôle la relégation en 1980, sauvé par un barrage victorieux contre Avignon. Cependant, en 1983, le club est finalement relégué après une longue période de 29 saison consécutive en première division, débutant alors un purgatoire de six ans en deuxième division. 

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La révolution Aulas : L’ascension de l’OL 

En 1987, alors que l’OL végète en deuxième division, Jean-Michel Aulas prend les rênes du club. Cette nomination est suggérée par Bernard Tapie, alors président de l’OM, qui voit en Aulas un excellent dirigeant pour Lyon. Aulas devient administrateur du club, puis est élu président le 15 juin 1987, succédant à Charles Mighirian. Il annonce alors son ambition de qualifier l’OL pour une compétition européenne dans les trois ans. 

Malgré le limogeage controversé de l’entraîneur Robert Nouzaret, Aulas mène rapidement le club à la promotion en première division en 1989, sous la direction de Raymond Domenech. Deux saisons après leur retour dans l’élite, l’OL atteint effectivement l’Europe, réalisant ainsi le pari d’Aulas. Cependant, le club frôle la relégation la saison suivante. 

Retour au sommet et premiers pas en Europe 

En 1995, l’OL termine deuxième du championnat, porté par une génération prometteuse, dont l’attaquant Florian Maurice. En 1996, ils atteignent leur première finale de Coupe de la Ligue mais perdent aux tirs au but face à Metz. La même année, ils goûtent à la Coupe d’Europe, éliminant notamment la Lazio. 

En 1997, l’OL remporte la Coupe Intertoto, battant Montpellier en finale, et se qualifie de nouveau pour l’Europe. L’équipe monte en puissance, terminant sixième en 1997-1998, puis troisième en 1998-1999 et 1999-2000. 

Une nouvelle ère : L’apport de Pathé et l’arrivée de Sonny Anderson 

En 1999, le groupe Pathé investit 104 millions de francs dans le club, devenant actionnaire à 34 %. Cet apport financier permet à l’OL de recruter l’attaquant brésilien Sonny Anderson, en provenance du FC Barcelone. Anderson devient rapidement une figure emblématique du club. 

Lors de la saison 2000-2001, Lyon termine à nouveau deuxième du championnat, derrière Nantes, mais remporte la Coupe de la Ligue face à Monaco, son premier trophée national depuis 1973.

L’Âge d’Or de l’OL : Sept titres consécutifs 

En 2002, l’Olympique lyonnais décroche son premier titre de champion de France lors de la dernière journée de championnat. Ce sacre inaugure une série historique de sept titres consécutifs. Sous la direction de Jean-Michel Aulas, le club s’impose comme une force majeure du football français et européen, bien qu’il ne dépasse jamais les demi-finales de la Ligue des champions. L’OL intègre le G14, regroupant les plus grands clubs européens, avec Aulas à sa présidence en 2007. 

La saison 2001-2002 commence avec l’étiquette de favori. Malgré une avance significative de Lens à la mi-saison, Lyon réduit l’écart et remporte le titre en battant Lens 3-1 lors de l’ultime journée, restant invaincu à domicile. 

La domination continue 

En 2002-2003, Paul Le Guen succède à Jacques Santini. Après un début difficile, l’OL enchaîne six victoires consécutives et prend la tête du championnat à la 32e journée, terminant premier. La saison suivante, l’OL pratique un jeu offensif qui lui permet de décrocher un troisième titre consécutif après un duel serré avec Monaco. En Ligue des champions, ils atteignent les quarts de finale, battus par le futur vainqueur, le FC Porto. 

L’OL en mode dominateur 

En 2004-2005, Lyon s’impose en tête dès la dixième journée et termine avec douze points d’avance sur Lille. En Ligue des champions, ils s’arrêtent en quart de finale contre le PSV Eindhoven, une polémique naissant autour d’un penalty non sifflé sur Nilmar. Après le départ de Le Guen, Gérard Houllier prend les commandes en 2005. Sous sa direction, l’OL survole le championnat, terminant avec dix-huit points d’avance sur Bordeaux. Selon Bastien Drut, ils obtiennent le meilleur score ELO jamais atteint en championnat de France lors de la saison 2006-2007. 

Records et déceptions européennes 

En 2006-2007, Lyon débute par neuf victoires consécutives avant de subir une défaite contre Rennes, manquant d’égaler un record. Ils établissent toutefois la meilleure entame de saison avec seize victoires, deux nuls, et une défaite. Malgré une élimination en huitièmes de finale de la Ligue des champions par l’AS Rome et une défaite en finale de la Coupe de la Ligue face à Bordeaux, l’OL remporte le championnat cinq matchs avant la fin, égalant son record de victoires à l’extérieur. 

La fin d’une époque dorée et les défis européens 

Les échecs répétés en Ligue des champions précipitent le départ de Gérard Houllier, remplacé par Alain Perrin. Durant la saison, bien que Lyon domine le championnat, il doit lutter jusqu’à la dernière journée face à Bordeaux. La victoire contre l’AJ Auxerre permet à l’OL de décrocher son septième titre consécutif, un record en France. Une semaine plus tard, Lyon s’adjuge la Coupe de France en battant le Paris SG, réalisant ainsi le premier doublé championnat-coupe de son histoire. 

Malgré ce succès historique, Alain Perrin est remercié en raison de conflits internes avec certains joueurs et le staff, notamment Joël Bats et Robert Duverne.

Une stabilité apparente malgré les changements 

Entre 2002 et 2007, l’effectif lyonnais est renouvelé à 80 %, et quatre entraîneurs se succèdent : Jacques Santini, Paul Le Guen, Gérard Houllier et Alain Perrin. Cette rotation n’affecte pas la stabilité du club, largement due au tandem Jean-Michel Aulas et Bernard Lacombe, qui joue un rôle crucial dans les succès de l’OL. 

Déclin européen et difficultés nationales 

Depuis la fin de 2006, Lyon connaît un déclin dans les compétitions européennes. Trois années consécutives, le club échoue à franchir les huitièmes de finale de la Ligue des champions, perdant de son éclat sur la scène continentale. Ces difficultés s’accentuent avec le départ de joueurs clés. Sur le plan national, depuis le début de 2007, l’OL éprouve également des difficultés à imposer son jeu, contrastant avec la domination qu’il exerçait lors des saisons précédentes. 

Déclin progressif et réorganisation (2008-2011) 

À partir de 2008, l’Olympique lyonnais entre dans une phase de déclin continu, tant en Ligue 1 qu’en Ligue des champions. Pour succéder à Alain Perrin, Jean-Michel Aulas engage Claude Puel, qu’il avait tenté de recruter à plusieurs reprises auparavant. Malgré un bon début lors de la saison 2008-2009, avec le titre de champion d’automne, les résultats ne suivent pas. Lyon est éliminé en Ligue des champions par le futur vainqueur, le FC Barcelone, et se fait dépasser en championnat par Bordeaux. C’est la première fois depuis 2000 que le club ne remporte aucun trophée, à l’exception du titre de la section féminine. 

Changements et investissements massifs 

La fin de la saison voit le départ de Juninho et la vente de Karim Benzema au Real Madrid pour 35 millions d’euros. Pour compenser, Lyon dépense plus de 70 millions d’euros pour recruter Lisandro López, Aly Cissokho, Michel Bastos, et Bafétimbi Gomis, dans l’espoir de reconquérir le titre. Cependant, plusieurs contre-performances laissent Lyon loin derrière Bordeaux à la trêve hivernale. En Ligue des champions, Lyon réussit un exploit en éliminant le Real Madrid et Bordeaux, atteignant sa première demi-finale, mais s’incline face au Bayern Munich. Le club termine tout de même deuxième en Ligue 1. 

Difficultés et réorganisation sous Claude Puel 

Pour la saison 2010-2011, Lyon recrute Jimmy Briand et Yoann Gourcuff pour 22 millions d’euros, mais le début de saison est compliqué. L’OL perd son premier derby à domicile contre Saint-Étienne depuis 1994. Après sept journées, Lyon est relégué à la 18e place, et la position de Claude Puel est fragilisée, bien que Jean-Michel Aulas lui maintienne sa confiance. Les résultats s’améliorent progressivement, et Lyon termine troisième, se qualifiant pour le tour préliminaire de la Ligue des champions. `

Transition et orientation vers la formation 

Rémi Garde est nommé entraîneur pour la saison suivante, et le club met l’accent sur la formation. Des jeunes comme Alexandre Lacazette, Clément Grenier, et Ishak Belfodil sont promus. Plusieurs départs marquent la période, dont ceux de Sonny Anderson et Miralem Pjanić. En raison des difficultés financières, Lyon privilégie des recrutements économiques tels que Bakary Koné et Gueida Fofana. Malgré ces efforts, l’ère Puel reste marquée par une absence de titres, avec le club cantonné aux places d’honneur. 

Saison 2011-2012 : Une transition contrastée 

L’Olympique lyonnais entame la saison 2011-2012 avec une douzième participation consécutive en Ligue des champions, après avoir éliminé le Rubin Kazan en tour préliminaire. Le club célèbre son centième match en Ligue des champions par une victoire 2-0 contre le Dinamo Zagreb, établissant un record pour un club français. Lyon se qualifie pour les huitièmes de finale pour la neuvième fois d’affilée, grâce à une spectaculaire victoire 7-1 contre le Dinamo Zagreb, comblant une différence de sept buts avec l’Ajax Amsterdam, battu simultanément 3-0 par le Real Madrid. Toutefois, leur parcours européen s’arrête en huitièmes de finale, éliminés aux tirs au but par l’APOEL Nicosie. 

En championnat, l’OL atteint la quatrième place à la trêve hivernale malgré sept défaites. Sur le plan national, le club se qualifie pour les finales de la Coupe de la Ligue et de la Coupe de France. Lyon perd la finale de la Coupe de la Ligue contre l’Olympique de Marseille (0-1), mais remporte la Coupe de France en battant l’US Quevilly (1-0), leur premier titre depuis 2007-2008. En Ligue 1, le club termine à la quatrième place, ratant la qualification pour la Ligue des champions pour la première fois en 11 ans, se qualifiant en Ligue Europa.

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Saison 2012-2013 : Ajustements et renouveau 

La saison 2012-2013 débute avec un nouveau trophée : Lyon remporte son septième Trophée des champions en battant Montpellier. Cependant, des joueurs clés quittent l’équipe, notamment Cris, Hugo Lloris, Kim Källström, et Aly Cissokho, dans une démarche de réduction de la masse salariale. Ces départs sont compensés par des recrutements à faible coût ou gratuits, tels que Steed Malbranque, Milan Bisevac, Arnold Mvuemba, et Fabián Monzón, ainsi que par l’émergence de jeunes formés au club, comme Alexandre Lacazette, Maxime Gonalons, Clément Grenier, et Samuel Umtiti. 

Lyon retrouve la Ligue des champions en finissant sur le podium de Ligue 1 pour la quatorzième fois en quinze ans. Cependant, sur la scène européenne, l’OL est rapidement éliminé de la Ligue Europa par Tottenham, emmené par Gareth Bale, qui sera transféré pour 100 millions d’euros au Real Madrid quelques mois plus tard. 

Un parcours européen difficile 

La saison 2013-2014 commence par un parcours difficile en Ligue des champions. L’OL parvient à éliminer le Grasshopper Zurich lors du troisième tour de qualification, mais se fait surprendre par la Real Sociedad, qui élimine Lyon de la phase de groupes. Reversé en Ligue Europa, Lyon se retrouve dans un groupe avec le Betis Séville, le Vitória de Guimarães et HNK Rijeka. En championnat, les Lyonnais débutent bien avec deux victoires contre Nice et Sochaux, mais rencontrent ensuite plusieurs défaites contre Reims, Évian, Montpellier et Monaco. Cependant, ils réussissent à battre Saint-Étienne dans le derby (1-2) lors de la 13e journée. En Ligue Europa, Lyon termine en tête de son groupe, devançant le Betis Séville. 

Au début de l’année 2014, Lyon subit une élimination précoce en Coupe de France contre Lens et traverse une série difficile en championnat. Cependant, ils remontent la pente, notamment avec une victoire contre Bordeaux dans les arrêts de jeu. Lyon se qualifie aussi pour la finale de la Coupe de la Ligue, mais perd contre le PSG. Le club termine à la cinquième place en Ligue 1. En Ligue Europa, Lyon réalise une performance notable en atteignant les quarts de finale, avant de se faire éliminer par la Juventus.

Refonte sous Hubert Fournier (2014-2015) 

Le 23 mai 2014, Hubert Fournier est nommé entraîneur de Lyon. L’intersaison est marquée par plusieurs départs, dont Bafétimbi Gomis, Miguel Lopes, Jimmy Briand et Rémi Vercoutre. Seule arrivée notable : Christophe Jallet, arrière-droit du PSG. Le club opte pour une forte intégration de jeunes joueurs issus de son centre de formation, comme Nabil Fékir, Maxime Gonalons, Alexandre Lacazette, Clinton Njie, Corentin Tolisso, Jordan Ferri et Anthony Lopes. 

Sous la direction de Fournier, Lyon commence la saison difficilement. L’OL est éliminé dès les barrages de la Ligue Europa par Astra Giurgiu, mettant fin à une série de 17 participations consécutives en coupe d’Europe. Le club est aussi éliminé tôt en Coupe de France et en Coupe de la Ligue. Cependant, Lyon redresse la barre en championnat, restant en tête du classement pendant une bonne partie de la phase retour. Alexandre Lacazette, meilleur buteur du championnat, est l’un des leaders de cette équipe. En fin de saison, Lyon termine à la deuxième place et se qualifie pour la Ligue des champions. 

Malgré la progression de jeunes talents comme Lacazette et Fékir, la fin de saison est marquée par une lourde défaite contre Caen (3-0) lors de la 36e journée, qui compromet les chances de titre. Cependant, Lyon conserve sa deuxième place et assure sa qualification pour la Ligue des champions. 

Saison 2015-2016 : Début de saison décevant 

La première moitié de la saison 2015-2016 est compliquée. L’OL souffre de nombreux problèmes, notamment en Ligue des champions, où il termine dernier de son groupe, alors que ce dernier était jugé abordable. En Ligue 1, les Lyonnais chutent à la neuvième place avant la trêve hivernale, ce qui conduit au limogeage de l’entraîneur Hubert Fournier juste avant Noël. 

Nouveau stade, nouveaux objectifs 

Le Stade de Gerland, bien que représentatif de l’histoire du club, est un stade vétuste et ne permet plus à l’Olympique Lyonnais de tirer pleinement parti des recettes liées à la billetterie, étant donné qu’il appartient à la ville de Lyon. De plus, avec une capacité limitée à 41 842 places, le stade ne répond plus aux ambitions du club. Jean-Michel Aulas, président du club, prend donc la décision de faire construire un nouveau stade, le Parc Olympique Lyonnais, d’une capacité de 59 286 places. Ce projet, d’un coût de 480 millions d’euros, s’accompagne d’une nouvelle stratégie de recrutement : l’OL achète de jeunes talents à des clubs de taille modeste (comme Tanguy Ndombélé, Ferland Mendy, Bruno Guimarães) et mise également sur la formation, avec des joueurs comme Alexandre Lacazette et Corentin Tolisso. L’idée est ensuite de revendre ces jeunes talents à des prix élevés à de grands clubs européens, permettant ainsi de financer le nouveau stade et les projets du club. 

Inauguration du Parc Olympique Lyonnais 

Le 9 janvier 2016, le Parc Olympique Lyonnais est inauguré lors d’un match contre l’ESTAC Troyes, que Lyon remporte 4-1. Alexandre Lacazette devient le premier buteur du nouveau stade. Ce stade sera le théâtre de nombreux matchs mémorables, dont une victoire contre le PSG lors de la 28e journée de Ligue 1, où Lyon s’impose 2-1 grâce notamment à un superbe but de Sergi Darder. En mai 2016, lors du dernier match de la saison, Lyon écrase Monaco 6-1, terminant à la deuxième place du championnat. En octobre 2016, le club bat Saint-Étienne 2-0 lors du premier derby joué dans son nouveau stade, et établit un nouveau record d’affluence avec 57 050 spectateurs. 

Parcours en Ligue Europa 2016-2017 

En Ligue Europa, Lyon réalise un bon parcours en terminant troisième de son groupe de Ligue des champions, ce qui l’envoie en 16es de finale de la Ligue Europa. Après avoir éliminé l’AZ Alkmaar et l’AS Roma, l’OL rencontre le Besiktas en quart de finale. Le match aller à Lyon est perturbé par l’envahissement du terrain par les supporters turcs, mais Lyon l’emporte 2-1. Le match retour à Istanbul est encore plus épique, avec Lyon se qualifiant aux tirs au but après un match très disputé (victoire 7-6). Cependant, Lyon est éliminé en demi-finale par l’Ajax Amsterdam, après une lourde défaite au match aller (1-4) et une victoire 3-1 au retour, insuffisante pour inverser la tendance. 

Saison 2017-2018 : Un Derby mémorable et une qualification européenne 

La saison 2017-2018 commence avec un incroyable derby à Geoffroy-Guichard où Lyon écrase Saint-Étienne 5-0, un match marqué par un doublé de Nabil Fékir. Après ce carton, l’OL réalise une saison solide, terminant deuxième du championnat et se qualifiant ainsi pour la Ligue des champions 2018-2019. En décembre 2017, Lyon bat Marseille 2-0 au Parc Olympique Lyonnais, devant un stade plein, battant le record de spectateurs pour un match de Ligue 1 avec 57 206 spectateurs. 

Parcours en Ligue Europa 2017-2018 

L’OL poursuit sa route en Ligue Europa en 2017-2018. Après une phase de groupes réussie, Lyon affronte le CSKA Moscou en huitièmes de finale. Le match aller en Russie est remporté 1-0 grâce à un but de Marcelo, et le retour à Lyon s’achève par une défaite (1-3) qui élimine Lyon de la compétition. Cette élimination prématurée compromet les ambitions du club en Ligue Europa. 

Qualifications européennes et changements de direction 

Malgré une campagne décevante en Ligue Europa, Lyon termine la saison 2017-2018 à la troisième place du championnat, une place qualificative pour la Ligue des champions. La saison suivante, 2018-2019, est marquée par une phase de groupes difficile en Ligue des champions où Lyon termine deuxième de son groupe, derrière Manchester City, mais devant le Shakhtar Donetsk et Hoffenheim. 

En championnat, l’OL se montre irrégulier, battant des clubs de haut niveau comme le PSG, Marseille et Saint-Étienne, mais perdant des points contre des clubs plus modestes. Malgré cela, le club termine à la troisième place de Ligue 1 et se qualifie directement pour la phase de groupes de la Ligue des champions 2019-2020. 

Changement d’entraîneur et de direction 

En mai 2019, après la fin de la saison, Jean-Michel Aulas annonce l’arrivée de Juninho, ancienne gloire du club, comme directeur sportif. De plus, l’entraîneur Bruno Genesio, qui a conduit l’OL pendant plusieurs saisons, décide de ne pas prolonger son contrat, et Sylvinho, ancien joueur de l’OL, est nommé pour prendre sa place sur le banc. Le club souhaite ainsi « passer à la vitesse supérieure » pour atteindre de nouveaux objectifs ambitieux. 

Ventes importantes et recrutements 

L’été 2019 est marqué par trois ventes cruciales qui génèrent des fonds considérables pour renforcer l’effectif lyonnais. Tanguy Ndombele est vendu à Tottenham pour 60 millions d’euros, Ferland Mendy rejoint le Real Madrid pour 48 millions d’euros et Nabil Fékir, champion du monde, est transféré au Bétis Séville pour 19,75 millions d’euros. Ces ventes permettent à l’OL de renforcer son équipe, dans un premier temps en recrutant Thiago Mendes et Jeff Reine-Adélaïde au milieu de terrain, ainsi que les défenseurs Joachim Andersen et Youssouf Koné. Le gardien Ciprian Tătărușanu est également signé pour renforcer la ligne défensive, et Jean Lucas Oliveira arrive du FC Santos, poursuivant la stratégie brésilienne du club. 

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Débuts de saison prometteurs et crise de résultats 

L’OL débute la saison avec de belles victoires : un 3-0 contre Monaco et un 6-0 contre Angers, mais la dynamique se brise rapidement. L’équipe enchaîne une série de résultats décevants, avec trois matchs nuls et quatre défaites en championnat, ce qui plonge Lyon à la 14e place du classement après une défaite dans le derby contre Saint-Étienne (0-1). Face à cette crise, le club prend la décision de se séparer de Sylvinho, son entraîneur, le 7 octobre 2019, et le remplace par Rudi Garcia, l’ancien entraîneur de l’Olympique de Marseille. 

Rudi Garcia et relance européenne 

Sous la direction de Rudi Garcia, les résultats sont mitigés, avec 5 victoires, 2 nuls et 3 défaites en 10 matchs à la mi-saison. Toutefois, en Ligue des champions, l’OL réalise une qualification pour les huitièmes de finale malgré une campagne difficile, avec deux défaites contre Benfica (1-2) et Zenit Saint-Pétersbourg (0-2). Grâce à un match nul contre le RB Leipzig (2-2), Lyon se qualifie in extremis, profitant de la victoire de Benfica sur le Zenit. 

Renforts et période de blessures 

À la fin de l’année 2019, l’OL fait face à une série de blessures touchant plusieurs joueurs-clés, notamment Memphis Depay, Jeff Reine-Adélaïde, Léo Dubois et Youssouf Koné. Pour pallier ces absences, Lyon recrute Karl Toko-Ekambi (prêté par Villarreal), le prometteur Bruno Guimarães, et donne plus de responsabilités à des jeunes comme Maxence Caqueret et Rayan Cherki, issus du centre de formation. 

Une montée en puissance en 2020 

Le début de 2020 marque un tournant pour Lyon. Le club réalise une série de sept victoires consécutives en championnat, dont une qualification en finale de la Coupe de la Ligue. Cependant, une nouvelle série de mauvais résultats (trois matchs sans victoire) relègue l’OL à 10 points du podium après une défaite contre le LOSC Lille (0-1) lors de la 28e journée. En Coupe de France, Lyon est éliminé en demi-finale par Paris Saint-Germain. 

Exploit en Ligue des Champions 

En Ligue des champions, Lyon réalise un exploit historique. En huitièmes de finale, Lyon surprend la Juventus en s’imposant 1-0 à domicile et décroche un match nul (2-2) à Turin, se qualifiant ainsi pour les quarts de finale. Là, Lyon crée la sensation en battant Manchester City 3-1, un exploit qui propulse les Gones en demi-finale pour la deuxième fois de leur histoire après 2010. 

Demi-Finale contre le Bayern Munich 

Les Lyonnais se retrouvent face au Bayern Munich, grand favori de la compétition, après leur écrasante victoire contre le FC Barcelone (8-2). Malgré un match courageux, Lyon s’incline 3-0, éliminé par le futur vainqueur de la Ligue des champions. Karl Toko-Ekambi voit sa frappe heurter le poteau en début de match, mais Lyon est rapidement dominé par un doublé de Serge Gnabry (18′ et 33′) et un dernier but de Robert Lewandowski à la 88e minute. 

Ainsi, bien que l’OL ait échoué en demi-finale, son parcours en Ligue des champions 2020 reste un exploit marquant, soulignant la résilience et les capacités tactiques de l’équipe malgré une saison tumultueuse en Ligue 1. 

Début de saison laborieux 

Après un parcours européen remarquable en 2020, l’Olympique Lyonnais rencontre des difficultés en 2020-2021. L’absence de compétitions européennes, conséquence de leur septième place en Ligue 1 lors de la saison précédente, limite les ambitions de l’OL, qui ne peut se concentrer que sur les compétitions nationales, à savoir la Ligue 1 et la Coupe de France. Les débuts sont laborieux, avec seulement une victoire après six journées, et l’équipe pointe à la 14e place du classement. 

Une remontée impressionnante 

Cependant, après la trêve d’octobre et la fin du mercato, Lyon effectue une belle remontée, enchaînant les victoires, dont une très impressionnante au Parc des Princes contre le Paris Saint-Germain. Grâce à cette série de résultats positifs, Lyon termine la première moitié de saison en tête du championnat, décrochant le titre honorifique de champion d’automne, avec une seule défaite à son actif et une série impressionnante de 16 matchs sans défaite consécutifs. 

Un retournement de situation en 2021 

Au début de l’année 2021, Lyon perd sa place de leader après une défaite contre le FC Metz. Toutefois, l’équipe réagit immédiatement, infligeant une sévère défaite à Saint-Étienne (5-0) lors du 122e derby, avant de battre Bordeaux (2-1). Cependant, comme cela a été le cas lors des saisons précédentes, Lyon ne parvient pas à enchaîner les bonnes performances et perd des points cruciaux à domicile. Les défaites contre le PSG (4-2) et Lille (3-2, après avoir mené 2-0) montrent la fragilité de l’équipe dans des moments décisifs. 

Fin de saison décevante 

Malgré cette réactivité ponctuelle, l’OL ne parvient pas à maintenir la cadence et termine la saison de manière décevante. Après une dernière défaite à domicile contre Nice, Lyon se classe quatrième du championnat, ratant la qualification pour la Ligue des champions et devant se contenter d’une qualification en Ligue Europa pour la saison suivante. 

Tensions au sein du club et changement d’entraîneur 

À l’issue de la saison, des tensions internes émergent. Rudi Garcia, l’entraîneur, annonce son départ et accuse publiquement Juninho, le directeur sportif, de semer la discorde au sein du club. Juninho répond en reprochant à Garcia son manque d’autorité envers certains joueurs cadres. Pour remplacer Garcia, la direction de l’OL opte pour Peter Bosz, un entraîneur néerlandais ayant dirigé l’Ajax Amsterdam et le Bayer Leverkusen, espérant ainsi donner un nouveau souffle à l’équipe. 

2021-2022 : Une saison de transition 

La saison 2021-2022 commence sous de nouveaux auspices, mais après une saison difficile marquée par une huitième place en Ligue 1 et une élimination en quarts de finale de la Ligue Europa face à West Ham (1-1 à Londres, 0-3 à Lyon), la situation de l’OL semble toujours fragile. Cependant, Peter Bosz est maintenu en tant qu’entraîneur pour entamer une deuxième saison, avec l’espoir de redresser la barre et de remettre le club sur la voie du succès. 

Rachat par John Textor et retour d’emblématiques joueurs 

L’année 2022 marque un tournant pour l’Olympique Lyonnais avec l’arrivée de l’homme d’affaires américain John Textor, qui rachète 66,5 % du capital du club. Textor, déjà actionnaire des clubs de Botafogo au Brésil, RWD Molenbeek en Belgique, et Crystal Palace en Angleterre, annonce lors de sa conférence de presse que l’OL serait « la pierre angulaire de notre projet ». Il affirme également que Jean-Michel Aulas, président emblématique du club, resterait à la tête de l’OL pour au moins trois saisons supplémentaires. Textor se décrit comme un « bâtisseur », visant à amener plus de capital pour propulser le club vers un nouveau projet sportif ambitieux. 

Une saison de transition 

Sur le plan sportif, à la suite de la huitième place obtenue lors de la saison précédente, Lyon ne participe qu’aux compétitions nationales : la Ligue 1 et la Coupe de France. À la dixième journée du championnat, après un nul à domicile contre Toulouse (1-1), le club pointe à la 9e place avec 14 points (4 victoires, 2 nuls, 4 défaites). 

Changement d’entraîneur : Arrivée de Laurent Blanc 

Le 9 octobre 2022, après une série de mauvais résultats, l’entraîneur Peter Bosz est mis à pied et remplacé par Laurent Blanc, ancien coach du Paris Saint-Germain et de l’équipe de France. Blanc cherche à redresser la barre et à instaurer une dynamique positive. 

Mercato Hivernal 

Lors du mercato hivernal, Lyon renforce son équipe en recrutant le défenseur central Dejan Lovren, qui fait son retour au club après son départ en 2013. L’attaquant suédois Amin Sarr et l’ailier gauche brésilien Jeffinho rejoignent également l’OL. 

Changement à la présidence : Jean-Michel Aulas cède sa place 

Le 8 mai 2023, Jean-Michel Aulas annonce son départ de la présidence après 37 ans à la tête du club. Il est remplacé par John Textor, qui devient le Président-directeur général et le Directeur général par intérim. Jean-Michel Aulas obtient un titre honorifique de Président d’Honneur en reconnaissance de ses nombreuses années de service. 

Résultats en Ligue 1 

Sous la direction de Laurent Blanc, l’OL parvient à améliorer sa dynamique en championnat, mais échoue à obtenir une place européenne, terminant à la 7e place. Le club espérait mieux, mais malgré quelques améliorations, l’objectif d’une qualification pour la Ligue Europa reste hors de portée. 

Prise de contrôle totale par John Textor 

Le 4 août 2023, après une offre publique d’achat d’actions, John Textor détient désormais 87,81 % du capital de l’Olympique Lyonnais. Cela marque le début d’une nouvelle ère pour le club, avec Textor en contrôle total. 

Début de saison 2023-2024 : Des débuts difficiles 

La saison 2023-2024 commence mal pour l’OL. L’équipe subit une défaite 2-1 contre le RC Strasbourg lors de la première journée de Ligue 1, une rencontre qui illustre les difficultés du club. Avec un effectif diminué par les départs de Castello Lukeba et Bradley Barcola, ainsi que les blessures d’Anthony Lopes et de Dejan Lovren, l’OL accumule les contre-performances. Après une défaite contre le PSG (1-4) et une dernière place en Ligue 1, le club décide de se séparer de Laurent Blanc le 8 septembre 2023. 

Nomination de Fabio Grosso 

Le 16 septembre 2023, l’entraîneur italien Fabio Grosso, ancien joueur de l’OL, est nommé à la tête de l’équipe première. Cependant, après plusieurs semaines difficiles, l’équipe enregistre enfin une première victoire en 11e journée, mais la situation reste préoccupante. En novembre, alors que le club est toujours dernier de Ligue 1, la direction annonce la mise à pied de Fabio Grosso. Pierre Sage assure l’intérim et devient l’entraîneur principal jusqu’en juin 2026. 

Nomination de Pierre sage en tant qu’entraîneur

Le 30 novembre 2023, Pierre sage, alors directeur du centre de formation, est nommé en tant qu’entraîneur en intérim suite au départ de Fabio Grosso suite à de mauvais résultats.

Après deux défaites à Marseille et Lens, la machine Pierre sage est lancé, il sort de la zone de relégation Avant la trêve hivernale où était l’ OL depuis le début de saison avec notamment la victoire 3-0 contre Toulouse avec un triplé du capitaine Alexandre Lacazette. Suite à de nombreux matchs renversés, le club mené par Pierre Sage arrive à accrocher une qualification en Europa League durant le dernier match de la saison contre Strasbourg (2-1) avec un pénalty a la 90’+6′ encore une fois du capitaine Alexandre Lacazette. Cette sixième place n’était même pas un rêve pour les supporters avec le début de saison du club.

Saison 2024-2025 : Des résultats non esperés  

La saison 2024-2025 commence sous de mauvais auspices pour Lyon, avec deux défaites consécutives (contre Rennes et Monaco), montrant que le club lyonnais traverse une période complexe et incertaine dans cette nouvelle ère sous John Textor. 

Le rachat par John Textor ouvre une nouvelle ère pour l’Olympique Lyonnais, mais les défis restent nombreux. Si le club cherche à reconstruire et à retrouver son niveau, l’OL devra surmonter ses difficultés actuelles pour renouer avec le succès, à la fois sur le plan sportif et structurel. 

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