Les évolutions en ce qui concerne la cigarette électronique sont très rapides. Rappelons qu’au tout début, il fallait se contenter de modèles assez volumineux qui n’étaient pas toujours très fiables ni pratiques. En 2024, on peut désormais acheter une e-cigarette à peine plus grande qu’une cigarette traditionnelle qui se recharge toute seule quand on la place dans son étui. D’autre part, entre les pods, les tubes et les box, les formes de vapoteuses sont assez variées. Vers quel kit se tourner alors ? Voici quelques éléments de réponse.
Le niveau d’expérience
Il serait faux d’affirmer qu’un type de kit est supérieur à tous les autres. Il faut déjà s’intéresser au niveau d’expérience du vapoteur. Pour les débutants, on recommandera ainsi un kit simple disposant de peu de réglages pour faciliter l’usage. Sur ce point, les pods sont probablement les plus adaptés. Ceux avec un niveau intermédiaire se dirigeront plutôt vers les tubes alors que les utilisateurs avancés recherchent un appareil plus puissant ou plus personnalisable. Sachant qu’il est possible de remplacer les accus et d’autres pièces clés.
Évidemment, il ne s’agit ici que de généralités : vous pouvez lire également ce site spécialisé pour avoir plus d’information sur les kits complets.
L’autonomie de la batterie
Comme il est possible de recharger n’importe quelle cigarette électronique (sauf s’il s’agit d’une puff qui sera bientôt interdite), on met rarement en avant le critère de l’autonomie. Pourtant, à partir du moment où vous êtes en déplacement sans chargeur à disposition, une autonomie suffisante va devenir nécessaire. Tout dépend de votre consommation quotidienne, sachant que les batteries inférieures à 1000 mAh tiennent difficilement la journée.
Autour de 2000 mAh, vous pouvez considérer que c’est une batterie capable de tenir sur la durée, sachant que les gros vapoteurs optent souvent pour des modèles supérieurs à 3000 mAh.
La capacité du réservoir
On a envie de dire que la capacité du réservoir est liée à l’autonomie puisque si celui-ci devient vide, vous ne pouvez plus vapoter. À moins bien sûr d’avoir sur vous quelques fioles d’e-liquides ! Quoi qu’il en soit, considérer qu’en dessous de 2ml, c’est très peu. C’est notamment le cas des petits formats de cigarettes électroniques fonctionnant avec des recharges jetables. Il faut donc avoir une utilisation très occasionnelle pour y voir un intérêt.
Les réservoirs entre 2ml et 4ml sont un bon compris entre compacité et autonomie, c’est pourquoi ils sont assez fréquents. Enfin, au-delà de 4ml, vous êtes en général à l’abri d’une panne en plein milieu de la journée !
La marque de la vapoteuse
Enfin, quand on achète un kit de cigarette électronique, c’est pour que celui-ci dure. Il va falloir ainsi éviter certaines marques chinoises bas de gamme (moins de 15 euros) qui proposent rarement des produits fiables. Certes, on ne peut pas dire qu’une vapoteuse soit un concentré de high-tech et qu’il y ait des divergences importantes entre les marques d’un point de vue technologique. Cela dit, la qualité des composants et les procédés d’assemblage entrent aussi en ligne de mire.
Par conséquent, mieux vous diriger vers un kit complet d’une marque qui a déjà fait ses preuves et qui est plébiscitée par les vapoteurs en herbe.